Quartiers Nord Montgeron

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Lu dans le Mon Mag 80 de février 2023 de Montgeron

Des travaux pour le pont de Bart
Une réunion publique a eu lieu en janvier pour échanger avec les Montgeronnais sur le devenir du pont de Bart.
Un constat
Le quartier de l’Ermitage reçoit un flux quotidien de véhicules en transit, perturbant la tranquillité des habitants, engendrant régulièrement des accidents, mettant en danger les piétons qui veulent traverser le pont de Bart et fragilisant ce dernier. Cette circulation se déverse ensuite rue du Moulin de Senlis et crée des embouteillages importants qui se répercutent jusqu’à la gare et la descente de la rue du Général Leclerc, congestionnée par ce flux.
Des études
La Ville a réalisé au printemps un comptage des véhicules dans le quartier. Environ 1 700 véhicules passent quotidiennement sur l’ouvrage d’art. 85 % des véhicules qui franchissent le pont de Bart sont extérieursau quartier et bien souvent à la ville. Le pont de Bart sert surtout de raccourcis entre Vigneux et Yerres, apportant un trafic important dans ce quartier pavillonnaire, inadapté à une telle fréquentation.
Une autre expertise a révélé que le pont n’est pas à démolir, mais qu’il doit être surveillé de près. Des travaux sont indispensables pour le sécuriser.
La Ville prévoit ainsi de refaire son étanchéité et demande à la SNCF de faire sa part (remplacement des garde-corps, renforcement de la structure, peinture...).
De tels travaux sont délicats, car ils nécessiteront sans doute une coupure de la circulation ferroviaire et des travaux de nuit. Ils ne sont pas encore programmés.
Quelles solutions ?
Par anticipation, la Ville a engagé, avec les riverains lors de la réunion publique du 16 janvier, une réflexion pour fermer le pont à la circulation automobile.
Les comptages seuls ne permettent pas de savoir l’impact d’une telle fermeture. Aussi, une phase de test sera engagée à l’été et pendant le mois de septembre avec la fermeture du passage. Un bilan sera tiré à l’issue pour mesurer les avantages et inconvénients d’une telle mesure avant de prendre une décision définitive..

Savez-vous de quelle année datent les garde-corps

Enfants Russes de retour de promenade (pont de Bart).
Dans les années 1950 il n'y avait pas de garde-corps de protection.
Dans ces mêmes années 1950, un de mes camarades de classe de l'école Jean Macé (place de l'église), eu la mauvaise idée de toucher avec je ne sais quel objet un fil de la caténaire (Nota).
Ce camarade a eu une heureuse chance d'avoir que des brulures aux mains.
Ce camarade s'appelait Michel M.
Suite à cet évènement qui aurai pu être mortel des grilles de protection furent installées.

Nota:

REF : https://meslignesnetu.transilien.com/2015/04/03/lalimentation-electrique-des-trains-la-catenaire/

Une caténaire c’est l’ensemble de câbles situés au-dessus des voies, qui permettent d’alimenter les trains en électricité.
Une caténaire est composée de câbles porteurs en bronze ou en aluminium et de câbles conducteurs en cuivre.
Le pantographe, sorte d’antenne du train, vient ainsi frotter la caténaire grâce à son archet pour capter l’électricité.
La caténaire donne l’impression d’une ligne droite suspendue au-dessus des voies…mais si vous l’observez plus attentivement vous découvrirez qu’elle forme un zigzag entre les poteaux, savez-vous pourquoi ?
Il s’agit en fait d’une mesure visant à éviter l’usure prématurée des pantographes ! En modifiant sans cesse le point de contact, et donc de frottement de l’archet sur la caténaire, on limite ainsi l’usure de l’archet tout en garantissant une qualité de contact optimale ! Mais selon les saisons, ce contact peut être altéré…
L’été par forte chaleur, la dilatation des caténaires peut provoquer des distensions et perturber l’accroche du pantographe.
En hiver, c’est le gel qui peut, en se déposant sur le fil de cuivre, altérer la propagation de l’énergie électrique.
La pollution mais aussi les actes de malveillances (bris des isolateurs) sont aussi à l’origine de nombreuses maintenances. Les contrôles et les chantiers de remplacement sont donc nombreux et réalisés de nuits lorsque cela est possible pour limiter les conséquences sur les circulations.
Savez-vous comment se nomment les techniciens d’équipement responsables des caténaires ?
Les écureuils ! En raison de leur travail en hauteur !

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